À la maison avec mes 2 singes

Enfin, je suis en mode vacances depuis mercredi soir. Malheureusement, mon épouse n’a débuté les siennes que ce soir. Pauvre elle! Mes enfants ont été un peu plus chanceux car je n’ai pas fait mon papa égoïste et ils ont donc eu le droit et le privilège de passer les 2 derniers jours avec moi. Il n’y a pas d’activités du style “Wow!” mais je pense que nous avons réussi à s’amuser. S’amuser, me semble que ça fait 2.5 ans que je m’amuse beaucoup moins. Il y aura surement d’autres billets à ce sujet mais mettons que la vie corporative a tiré bien du jus pendant cette période. Ce n’est pas le fait de faire plein d’heures pour le travail qui me déprime. Il y a un côté à ma personnalité qui aime drôlement ça. En fait, ce qui me dérange est que ces heures et le stresse associé ont fini par me rendre désagréable et irritable. Je vois donc cette pause comme l’opportunité de faire un gros “reset” sur cette phase de la vie. Mes fils, et mon épouse, méritent un homme présent mentalement, agréable et souriant. Alors, ma petite famille, je vous promets plus de monkey business! Après tout, il faut bien les entrainer ces petits singes!

Singe numéro 1

Singe numéro 1

Singe numéro 2

Singe numéro 2

Deuxième tentative…

Me revoilà après 2 ans pour une tentative ultime de fait revivre ce blogue. En fait, ce blogue n’a jamais vraiment vécu. C’était une tentative plutôt ratée de faire suite à La colonisation québécoise de Paris qui était un aperçu de mon aventure en France avec ma petite famille (qui s’est agrandie de1 depuis). Il est possible que ce blogue soit “full bilingual” selon mes goûts. On verra bien. Ou devrais-je écrire “whatever”?  C’est drôle, mais j’ai l’impression d’enfin arriver à la fin d’une période difficile qui perdure depuis quasiment 3ans. Famille, enfants, travaille, manque de temps, forme physique en déclin et tout le reste du caca qui vient avec la mi-trentaine. Alors, ce blogue me servira de thérapie, de défoulement et d’espace pour me plaindre autant que je juge nécessaire. Mais, malgré mes écrits, sachez que j’adore ma vie!